Face ombre, face lumière, sur le tranchant de l'épée se place la liberté. Ici, le trouble de la pensée se diffuse, l’espace est nettoyé, s’installe la vacuité. Nous pourrions dire : l’incertitude, pourrions parler d’inconnu, d’acceptation, de surprise même, d’étonnement.
Pourquoi pas…

Sur le tranchant de l'épée se place ma liberté.

Du cœur de mon cœur à l’esprit saint de la source, je souffle…
J’ai depuis siphonné ce moi multiple et désidentifié.e de mes représentations,  de mes pensées, je me suis ainsi rassemblé.e dans le lieu refuge de mon cœur éclairé.

Qu’importe ainsi mes faiblesses et mes imperfections, qu’importe absolument puisque je suis aimée pour mon unicité, ma singularité.

Qu’explorerait la source si j'étais parfait.e ?

Merci Merci Merci ...

Le feu de la foi, le fameux, celui qui fend le bois, le plus vieux, les vieilles formes, les rondeurs obsolètes, les angles aigus, les figures parfaites, oui, qui fend le Moi, le dévaste parfois.

L’âme est comme la mémoire d’une étoile et je vis sa Lumière. Mon être étoilé me transmet son code source et intriqués, d’une commune mesure, mes connexions, mes électrons, ma lumière se connectent et sa lumière est ma lumière, je suis cet Être suprême.

L’imaginez-vous?